1. |
POST Moleski
03:30
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P.O.S.T.M.O.L.E.S.K.I.
POST/MOLESKI
Premièrement ouvrir sa tête
Puis offrir ses travers
Paroles osées signifiants textes
POST P.O.S.T.
Passer outre sa tyrannie
Puiser où se trouvent
Pièces oubliées sous tapis
POST MOLESKI
Puisqu’On Se Trouve
Pile Où Se Tressent
Pistes Ou Suites Testées
Pages Ouvertes Sont Tournées …. P.O.S.T.
Pour oublier ses torts
Pour obéir sans tentatives
Peuples ondulez sans trêve
POST P.O.S.T.
Paradisiaques ou sourdes traces
Pistes orgiaques sans territoires
Parallèle oblique se traque
POST MOLESKI
Puisqu’On Se Trouve
Pile Où Se Trament
Puisqu’On Sait Transformer
Pages Ouvertes Sont Tournées …. P.O.S.T.
Pire Ouïr Sire Tir
Porc Or Sort Tors
Pâte Ouate Sable Table
Prêts Ombre Sombres Traits
POST MOLESKI
Fallait passer à autre chose, fallait tourner la page,
Avec toujours les 4 mêmes lettres ……
P.O.S.T. ! (MOLESKI !)
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2. |
Ego Trip
03:30
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Deux personnages au même visage
Avec un miroir au milieu
Même s’ils s’écoutent, ils se parlent en même temps
Mélangent le dehors et le dedans
Moi, moi, moi, moi …
Ego trip/Dans les reflets de Narcisse
Moi, moi, moi, moi …
Ego trip/Dans les reflets de Narcisse
« ça va toi ? Moi j’ai du mal, du mal avec moi-même, j’m’auto-saoule.
J’me surprends plus, j’me connais par cœur, si y’a un combat à perdre, tu peux être sûr que j’en suis … En même temps, j’me récupère toujours, en même temps, c’est pas forcément mieux. »
Dans ses pensées introspectives
Un ouvrage revient
Le titre c’est : « Disparaître de soi, une tentation contemporaine »
Moi, moi, moi, moi …
Ego trip/Dans les reflets de Narcisse
Moi, moi, moi, moi …
Ego trip/Dans les reflets de Narcisse
« Disparaître de soi, tu t’aperçois, que t’es pas le seul à y penser, disparaître de soi, tu t’aperçois qu’ça s’apprend. J’m’auto-saoule. J’me surprends plus, j’me connais par cœur, si y’a un combat à perdre, tu peux être sûr que j’en suis … En même temps, j’me récupère toujours, en même temps, c’est pas forcément mieux. »
Alors …. Le sort …. Se charge du reste,
Le sort se charge de qui sort ou qui reste
« On s’attendait pas à ça, on s’attendait à mieux »
Ego trip, ego trip dans les reflets de Narcisse.
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3. |
Le cri de l'arbre
03:18
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Paré du costume du hasard
Pour déjouer les algorithmes
La théorie du facteur X remis
sur le cheval
Assailli par une faim de loup
Pour dévorer les espaces
Course contre soi-même pour
réduire le score
Sortie de route pour aller dans
le décor
Direction mur contre direction
porte
A l’assaut du collectif
Comme pour traduire des
hiéroglyphes
Souvenir d’avenir, espoir
d’amnésie
Prêter le flanc à la critique
Orientation sans table à la
clinique
Plus de place, pas le temps
Myopie depuis les guérites
Diplomatie des frites
Entre les tranches De pain sur la
planche
Sandwich aux pilules
Syndrome sillon
Tous les symptômes/De la
disparition
Discours d’un langage sans
mots
Discours aphone
Nostalgie d’inclusion dans la
faune
Nostalgie des blocs/Des vélos
sur la terrasse
Les cris des sourds aveuglent
les observateurs qui en restent
cois
Les voyants oscillent du vert au
rouge dans une musique de
pendule métronomique
Je suis le cri de l’arbre (X3), en
lisière de forêt …
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4. |
Si je suis là
02:50
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Si je suis là, c’est pour raconter une histoire
Noire comme l’ébène, et blanche comme l’ivoire
Des paradoxes, dans mon histoire y’en a plein
Chui comme un tox, moi c’est un truc dont j’ai
besoin
Pour accéder aux nuances de l’âme humaine
Mise en abîme de l’intime à l’universel
Petits ou grands, tous dans les mêmes prisons
L’infini ment comme tout le monde y’a pas de
raison
R : Si je suis là …..
Pourquoi ? Je sais pas !
Si je suis là
Pourquoi je ne sais pas
L’histoire commence par une image qui m’obsède
Les rues d’une ville, l’odeur d’un climat obscène
Une silhouette qui marche dans la nuit
Puis disparaît, son nom ? C’est Moleski
L’image revient, et se défile en chansons
L’histoire se poursuit au fil de mes visions
Si je suis là, c’est pour dire les mots qu’elle
m’assène
Blanche comme l’ivoire, et noire comme l’ébène
R
Si je suis là, c’est que je ne devais pas être ailleurs
Si toi aussi, laissons une chance à nos coeurs
De battre un peu sur le même tempo
Même avec tout c’qu’on a dans nos sacs à dos
Si je suis là, c’est pour raconter une histoire
Noire comme l’ébène, et blanche comme l’ivoire
Si je suis là, c’est pour dire les mots qu’elle
m’assène
Blanche comme l’ivoire, et noire comme l’ébène
R
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5. |
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Dans le chao du monde, ou celui de ma tête
Dans les eaux troubles et profondes, force est de
reconnaître
Dans le flux quotidien, dans le règne du rien
Surgissent, comme les fleurs qui éclosent,
L’esquisse, les contours de l’osmose
L’alignement des planètes
Quand les gens comme les choses se complètent
Un instant de symbiose, dans l’harmonie
parfaite
L’alignement des planètes
Quand la musique et la prose, se reflètent
Alors les doutes explosent…. Et je ressors la tête
L’équilibre fragile, un mot pour chaque chose,
Les critères réunis, l’équation résolue,
Surgissent, comme les fleurs qui éclosent,
L’esquisse, les contours de l’osmose
L’alignement des planètes
Quand les gens comme les choses se complètent
Un instant de symbiose, dans l’harmonie
parfaite
L’alignement des planètes
Quand la musique et la prose, se reflètent
Alors les doutes explosent….
Et je ressors la tête ! (X2)
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POST MOLESKI Grenoble, France
3 humains. L’envie de se retrouver pour des parenthèses. Pour mettre en sons et en mots. Pour les articuler, pour les
superposer. Comme pour envisager de nouvelles formes. De nouveaux territoires.
Au centre, Moleski. Personnage énigmatique à la lisière de l’intime et de l’universel, prétexte à se mouvoir dans le décor. L’humanité, la sienne, la nôtre, passée au crible.
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